nouvelle structure
La structure du squash loisirs Balagne
Il y a trente ans le squash n’était pas connu sur l’île
Il était donc impensable d’avoir une structure publique tant le monde politique ignorait cette discipline
Donc 3 particuliers se sont lancés dans l’aventure
A Ville di Pietrabugno, pourtant des privés construisaient quand même sur un terrain communal qui fonctionne encore avec une délégation de service public.
A Ajaccio ils louaient un hangar face a FR3 qui abrite la poste maintenant
A Ile-rousse il a fallu tout construire avec nos moyens et la possibilité de transformation en immobilier si cela ne fonctionnait pas.
Aujourd’hui grace à la dynamique ile-roussienne depuis 2000,
il y a 3 clubs à Bastia dont Ville di Pietrabugno, Furiani, Borgo (municipal) et bientôt Moriani
Il y a 2 clubs à Ajaccio, ASPTT et Mezzavia
Un club municipal à Ghisonnaccia et Calvi, etc
Concernant Ile-Rousse, l’énorme avantage du club est que son association fonctionne à plein régime avec des résultats dépassant toute espérance: 4 brevets d'état dont un BE2 disponibles à plein temps
.La structure est obsolète depuis quelques années ; elle ne permet pas une expansion plus importante : accueil de stages de haut niveau, camp d’entrainement pour des étrangers, tournois plus importants, meilleur accueil des jeunes, retombées plus importantes sur la ville, etc.
nous avons réfléchi sur la création et le fonctionnement d’une structure municipale dès 2004, en tenant compte du fonctionnement d’une municipalité, et de la réalisation de l'équipement pour l'avoir fait et aidé d'autres à le faire,
nous pouvons proposer 4 types de projets à des communes en Corse comme Corte, conçues par 4 architectes différents, avec des couts différents aussi: superficie. de 600 à 700m2
Les problèmes d’une municipalité sont de différents ordres :
Tout d’abord le foncier :
il existe à Ile-Rousse pour une structure de ce type, un emplacement qui ne doit servir qu’à ce type de structure : proche du lycée et du collège, en sachant que ces établissements ont des restrictions budgétaires ; il est plus judicieux d’installer ces équipements près de ceux-ci et de payer seulement du sport plutôt que du transport et du sport.
Le choix politique dans ce domaine ne peut être qu’un choix d’activité : une activité qui fonctionne déjà auprès des scolaires comme le squash, ou une nouvelle qui se dit augmenter une offre pour les jeunes, alors que les autres activités ont du mal à fonctionner par manque de jeunes tout simplement : vaut-il mieux proposer une très grande offre d’activités sportives qui ne fonctionnement pas par manque d’encadrement, d’adhérents, ou moins d’activités qui fonctionnent ; c’est bien un choix politique, le premier étant le plus souvent choisi dans un souci purement politico-politique et qui n’a rien avoir avec l’intérêt des jeunes.
Un choix d'équipement collectifs, il y en a déjà 2, ne peut en aucun cas avoir un auto fiancement, car les activités pratiquées ne peuvent se développer à cause de créneaux horaires insuffisants.
les disciplines qui fonctionnenet le mieux sont celles qui ont un équipement spécifique: football, tennis, squash, danse,etc..
Ensuite le budget :
Pour que le cout d’une structure puisse être intégré dans un budget, il faut d’abord en évaluer le prix, donc faire un dossier, puis en chercher les possibilités de financement, avant de voir si on peut le mettre dans un budget
Dans ce domaine, un dossier a été déposé en mairie en 2015 sans suites, doit-on le porter nous-même de bout en bout?
nous le pouvons
Sachant que des financeurs se déplaçaient en Corse en 2017 pour étudier les équipements sportifs, nous avons redéposé un dossier qui n’a pas été présenté alors que cela n’engageait à rien.
Le budget de la ville et des autres instances locales et régionales ne sont pas extensibles, nous le savons ;
notre maturité à gérer notre association, nous permet de participer au financement d’une nouvelle structure sous la forme la plus légale qui soit :
loyer, prise de parts, apport financier, plans, suivi de chantier, constitution du dossier, transposition de matériel, aménagement, etc..
Cela peut complètement gommer la part communale de l’investissement, et donc minimiser le problème budgétaire,et donc être intégré à n’importe quel budget, à condition d’essayer.
Qui d’autre que le squash peut proposer ce genre de formule moderne et quel intérêt et quel cout si on veut faire autre chose?
Doit-on laisser mourir cette activité pour faire autre chose dont on se sait pas si cela va fonctionner ?
Ensuite le choix de la structure
Notre modèle de 2004 comme les autres, est à peine plus grand qu'un court de tennis
la fédération propose maintenant ce type de projet
En allant un peu plus loin nous avons étudié un projet mieux intégré localement :
Et si par hasard une ville voulait un projet vitrine qui la mettrait à l’avant-garde dans le monde, en sachant qu’il y a des gens qui peuvent la faire fonctionner,
nous avons ce projet qui ne peut-être placé que dans un endroit noble : grande place, sur un parking à étages , etc..;
La encore le choix est politique et financier, la prise de risque se mesurant aussi.
Nous attendons donc un signe politique à Ile-rousse, mais nous étudierons d’autres emplacements moins propices a un bon fonctionnement dans d’autres communes si elles le souhaitent.